Jai appris (anonyme) J’ai appris que l’amour peut arriver par surprise ou mourir en une nuit. Que de grands amis peuvent devenir de parfaits inconnus et Bonjour,J'ai une petite fille de 17 mois qui me comble de bonheur et j'ai appris hier que j'étais enceinte du 2éme. Ma 1ére réaction a été de fondre en larmes, mais pas de joie. Ca n'était pas prévu, on en voulait un autre bébé mais plutôt dans 1 an. J'ai oublié 2 fois la pilule. Je n'ai pas envie d'etre enceinte, pas envie d'avoir un autre enfant tout de suite. Je sais que c'est dans 9 mois, mais quand même. Je ne pourrais plus porter ma fille quand j'aurais un gros ventre, je serais fatiguée or elle a beaucoup besoin de moi, elle encore toute mari lui est fou de joie, il est lui super content. j'ai trés peur. Peur de ne pas savoir aimer cet enfant autant que ma fille, de ne pas savoir lui donner autant d'amour, d'avoir une préférence pour ma aussi de ne plus donner tout mon temps à ma fille, qu'elle soit jalouse, qu'elle m'en de ne pas m'en sortir, déjà qu'avec un enfant c'est dur et que mon mari travaille pour ma 1ére grossesse je ne pensais qu'à ça, je cherchais déjà un prénom, je regardais les catalogues, cette fois ci rien, pas ces envies du tout... Pour la 1ére je n'avais aucune crainte là j'en ai peur que ce petit que je porte le ressente tout au long de ma grossesse. Pcq quand même c'est mon enfant...Et vous, comment avez-vous vécu votre 2éme grossesse ? Vous avez eu aussi ce sentiment?Merci pour votre aide Votre navigateur ne peut pas afficher ce tag vidéo. Ça sera super pour tes enfants ils n'auront pas bcp d'écartEt puis pour la grossesse ne t'inquiètes pas trop, ta fille va grandir et les enfants comprennent bcp de chosesTu verras l'amour n'est pas divisé mais multiplié Ce n'est que du bonheur !! J'aime Quel chance tu t'inquiètes pas tu sais parfois, il ne faut pas se poser trop de question, d'autant plus que ton mari est heureux, donc il te soutien, ne crois pas que cette naisance t'empêcheras de profiter pleinement de ta pétoulette, tu t'organiseras autrement s'est qui a la chance d'avoir un petit garçon mais qui malheureusement n'aura pas d'autres enfants. J'aime zut zut zut Coucou,Si je dis zut ce n'est pas du tout par rapport à tes propos mais j'ai juste un peu les pétoches...J'ai un p'tit bout de 17 mois & j'ai oublié 3 fois ma pilule ce mois ci & rapport non protégé le lendemain de l'oubli, sauf que je me souvenais pas avoir oublié ma pilule...Bref j'attends mes rrrrrrr pour demain normalement... Pour te répondre je te dirais de souffler un coup, de relativiser, même si c'est très difficile à faire je te l'accorde!!! Ton mari est super heureux... c'est déjà top T'aide t il pour ta puce Si oui tu peux espérer qu'il s'investisse aussi pour BB2 Quand à l'amour que tu porteras à ce 2e enfant, je pense que ça se fera naturellement au fil du temps & pour ta petite choupinette, vois ça sous un autre angle tu lui offres une petite soeur ou un petit frère pour jouer, grandir, évoluer ensemble!!! Il faut absolument que tu dédramatises l'évènement pour commencer à le vivre pleinement & aussi pour que ta puce puisse se préparer au mieux à l'arrivée de ce nouveau bébé!!!Ce bébé ne prendra jamais la place de ta puce bien évidemment, il sera le cadet, elle l'ainée & vous serez une belle petite famille Tu ne l'aimeras pas de la même manière cet enfant, mais tu l'aimeras tout autant!!! Bon courage en tout cas & plein de bonnes choses pour toi & ta famille qui s'aggrandit!Tite Bulle & son petit Yoann d' 17 mois J'aime Vous ne trouvez pas votre réponse ? Ici ils ont 3 ans d'écartici ils ont 3 ans d'écarton dit souvent que la jalousie est maximale quand l'écart est compris entre 2 ans 1/2 et 4 ans, donc tu vas échapper au pire sinon j'ai choisi cet écart, malgré tout je culpabilisais beaucoup, j'avais vraiment l'impression de jouer un sale tour au grand.... et puis bb2 est né J'aime Ouipareil. J'avais pas envie d'un autre bébé, ma grande me suffisait quand j'ai su que j'étais enceinte elle avait 13/14 mois. J'avais aussi peur de ne plus avoir de temps pour elle. Ca coinçait aussi zhom était pour l'IVG, moi euh presque. Suis allée chez le gynéco, et quand elle m'a fait écouter son coeur, j'ai pris la décision de la garder envers et contre tout voire tous, dont mon mari, malgré tous mes doutes et mes on passera sur certains trucs, grossesse pas très sereine, etcJe l'ai aimé dès qu'elle est sortie de moi. Elle était si petite, si l'aime autant que sa soeur, de manière totalement différente. Certes je cours entre les deux, certes elles ont dû apprendre à me partager et comprendre que je ne pouvais pas me dédoubler, certes il y a eu bcp de jalousie de la part de la grande, mais je ne regrette si je regrette de n'avoir pas profité de ma seconde et dernière grossesse. J'aime Une trés bonneamie ne voulait pas d'autres enfantsdéja 2 garçons 11 et 6 ansLes couches,pouponer à nouveau tr peu pour elleElle voyait les difficultés coté organisation,boulot,espace maison et relation avec les grands frères...Le problème c'est que son mari insistait lourdement pour le petit troisièmeil revait d'une fille.Finalement elle a mois d'aprés elle est enceinte et ...tr contrarié par cette nouvelle l'annonce au papa ne fut pas tr joyeuseet il lui en a vouluBref démarrage difficile....et puis l'idée a fait son chemein en méme temps que le ventre s' sexe resterait secret jusqu'a l' 3 décembre dernier,bb est est une FILLE LE BONHEUR amie remercie tous les jours son homme de lui avoir "un peu forcer la main" pour ce bb qu'elle ne voulait passer un peu de temps,tu es sur le coup de la coeur de maman va s'agrandir,et tu verras que ce bb tu l'aimeras autant que le de maman J'aime Jai appris que l'amour peut arriver par surprise, ou mourir en une nuit. Que de grands amis peuvent devenir de parfaits inconnus , et qu'au contraire, un inconnu peut devenir un amis pour la vie. Que le "Jamais plus " n'arrive jamais, et que le "pour toujours" a une fin. Que celui qui veut, peut et y arrive. Que celui qui prend les risques ne
En novembre 2015, installée dans mon lit confortable, j’ai regardé une vidéo sur la terrible crise des réfugiés qui secouait la Grèce. À la fin de la vidéo, j’avais l’impression que mon cœur allait exploser dans ma poitrine. Je savais ce que cette sensation familière signifiait. J’avais reçu une inspiration, et quelques semaines plus tard, je me trouvais au cœur du plus grand camp de réfugiés de l’île de Lesbos. Comme Patrick Kearon, du Collège des soixante-dix, l’avait déclaré lors d’une conférence générale, il faut voir la réalité de ces situations pour le croire1 ». Je témoigne de la vérité de cette déclaration. Après avoir moi-même constaté les conditions terribles dans lesquelles se trouvait le camp et après avoir appris tous les dangers que les réfugiés avaient dû affronter pour y arriver en vie, j’ai demandé à un homme venu de Syrie pourquoi il avait pris tant de risques pour venir ici. Sa réponse a mis un terme à ma stupéfaction naïve Soit on reste et on meurt, soit on part et on meurt peut-être. » Mon séjour au camp de Moria a été l’une des expériences les plus difficiles de toute ma vie, mais c’est également devenu l’une de mes plus inspirantes. Au début, je ne pensais pas que les petites tâches qui m’étaient confiées faisaient une différence pour qui que ce soit, mais j’ai constaté personnellement le pouvoir réel et indiscutable de l’amour. L’influence de l’amour Un après-midi, je discutais avec Ebrahim, nouvel ami venu d’Iran. Il voulait connaître mon salaire pour apporter mon aide au camp. J’ai souri et ai répondu à Ebrahim que j’étais bénévole. Il n’avait jamais entendu ce mot ; je le lui ai donc expliqué. Interloqué, il m’a alors demandé le salaire de mon chef d’équipe. J’ai ri et lui ai répondu que tous les gens qui travaillaient dans le camp étaient bénévoles. Je suppose que la nouvelle s’est répandue, car mes nouveaux amis de plus en plus nombreux en ont parlé, disant combien ils étaient surpris que nous les aidions sans rien recevoir en retour. Il n’avait jamais rien vu de pareil. Après les horribles traitements inhumains qu’ils avaient subis, ils étaient en droit de penser que personne ne leur viendrait en aide, encore moins des inconnus. Beaucoup m’ont dit qu’ils n’avaient aucune idée de ce qui leur arriverait une fois arrivés en Europe. Quelle surprise ils ont dû avoir d’échapper à la mer démontée pour être accueillis par des bras ouverts et chaleureux et des couvertures de survie ! Peu de temps après ces conversations concernant les bénévoles, nous avons fait le tour du camp. J’ai remarqué quelque chose de très intéressant. Les réfugiés ont commencé à m’aider dans mes tâches ! Ils ramassaient les ordures. Ils demandaient s’ils pouvaient aider à préparer les boissons chaudes et à les servir tout au long des nuits glaciales. Ils aidaient à plier, trier et distribuer les vêtements reçus en dons et à monter et démonter des tentes. Et, à ma grande surprise, à la fin de mon service, il ne me restait presque plus rien à faire. Si je portais un lourd bidon d’eau, un homme proposait de le porter à ma place. Si je faisais la vaisselle, des réfugiés venaient me dire avec joie qu’ils allaient la faire. Si j’ouvrais un sac poubelle, un groupe de garçons se précipitait pour m’aider, et, de plus, les réfugiés ne jetaient presque plus leurs ordures par terre ! Les changements que j’ai constatés à l’intérieur du camp étaient indéniables. Lorsqu’est arrivé le triste jour où j’ai quitté les gens que j’avais appris à tant aimer, un homme m’a reconnue sur le ferry. Il venait me remercier de ce que j’avais fait, lorsqu’il a vu que je n’avais qu’un billet en classe économique. Il a insisté pour échanger mon billet contre son billet de première classe, pour toute la longue traversée de quatorze heures. Il m’a expliqué que l’exemple des bénévoles l’avait changé. Il voulait lui aussi venir en aide à quelqu’un et échanger son billet avec moi était ce qu’il pouvait faire de mieux pour le moment. S’il vous plaît », m’a-t-il suppliée. S’il vous plaît. » J’ai eu les larmes aux yeux en constatant une fois de plus l’effet domino du service et de l’amour sincères. J’avais été bien naïve de penser que les petites tasses de thé que je servais ne faisaient pas vraiment de différence pour qui que ce soit. Nous avons besoin les uns des autres Cette expérience m’a permis de me rendre compte que ces gens ont vraiment besoin de nous. Ils ont besoin de notre temps, ils ont besoin de nos dons, ils ont besoin de notre amour et ils ont besoin de notre exemple. Et nous avons également besoin d’eux. Le monde serait tellement beau si, au lieu de leur tourner le dos ou de les laisser affronter seuls ces nouvelles situations, nous leur ouvrions les bras comme le ferait notre Sauveur, en leur témoignant de l’amour, de l’acceptation et de la gratitude, et en leur insufflant le désir de servir les autres lorsqu’ils en seront capables. Avec la crise des réfugiés partout dans le monde et les différentes croyances sur la manière d’y faire face, je me rappelle souvent le principe énoncé dans Mosiah 419 Car voici, ne sommes-nous pas tous mendiants ? Ne dépendons-nous pas tous du même Être, Dieu, pour tous les biens que nous avons, à la fois pour la nourriture et le vêtement, et pour l’or, et pour l’argent, et pour toutes les richesses de toutes sortes que nous avons ? » Je prie pour qu’un jour nous nous rendions compte que nous sommes tous des mendiants. Nous avons tous besoin d’aide dans cette vie, et je crois désormais résolument que notre Père céleste attend de nous que nous apprenions de l’inévitable souffrance qui nous entoure dans la mortalité. Apprenons tous à aimer et à servir les personnes dans le besoin. Des expériences telles que rendre service dans un camp de réfugiés nous offrent la chance d’être plus humbles, plus compréhensifs et plus compatissants. Cela nous donne également l’honneur et le privilège de tendre la main à nos frères et sœurs et d’acquérir un amour sincère, parfait, les uns pour les autres, à l’image de celui du Christ. Je savais déjà que Dieu aime suffisamment ces réfugiés pour avoir envoyé d’autres personnes leur venir en aide. Mais je comprends à présent qu’il m’aime tout autant pour me permettre également d’apprendre d’eux. Au début de mon service, j’étais découragée, je me sentais inutile et je voulais tellement être en mesure de résoudre tous les problèmes, ou du moins de faire plus que servir le thé à ces personnes méritantes. Mais finalement j’ai été témoin des effets beaucoup plus importants du service que je rendais réellement dans ce camp. Mon appel était, en fait, de répandre de l’espoir, de la bonté et de la lumière dans un monde de plus en plus sombre. Nous sommes tous les enfants de parents célestes et nous pouvons faire tellement de choses pour nous venir en aide aux uns aux autres, où que nous nous trouvions.
Anonyme Salut, Je vais raconter mon histoire comme quoi j'ai trouvé l'amour alors que je m'y attendais le moins. Un jour, traînant sur Facebook, je J’ai appris que l’amour peut arriver par surprise ou mourir en une nuit. Que de grands amis peuvent devenir de parfait inconnus, et qu’au contraire, un inconnu peut devenir un ami pour la vie. Que le jamais plus » n’arrive jamais et que pour toujours » a une fin . Que celui qui veut, peut et y arrive. Que celui qui prend des risques ne perd jamais rien, et que celui qui ne risque rien ne gagne jamais rien. Que si on veut voir quelqu’un, il faut aller le chercher, car après c’est trop tard . Qu’avoir mal est inévitable, mais que souffrir est en option, et surtout, j’ai appris que nier les choses les plus évidentes ne sert absolument à rien . eton peut bien remplacer par "beaucoup de bonnes choses se sont passées cet après-midi) Ton jeune corps maladif, / Plein de taches de rousseur. Baudelaire, Les Fleures du Mal, 1857. Tu as plein de rouge à lèvres sur la figure. Cocteau, Parents, 1938. Vous auriez vu plein d’Anglaises à voile vert Farrère, Homme qui assass., 1907 J'ai appris que l'amour peut arriver par surprise ou mourir en une nuit. Que de grands amis peuvent devenir de parfaits inconnus et qu'au contraire, un inconnu peut devenir un ami pour la vie ». Que le jamais plus » n'arrive jamais et que le pour toujours » a une fin. Que celui qui veut, peut et y arrive. Que celui qui prend des risques ne perd jamais rien et que celui qui ne risque rien ne gagne rien. Que si on veut aller voir quelqu'un, il faut aller le chercher car après, il est trop tard. Qu'avoir mal est inévitable, mais souffrir est une option. Et surtout, j'ai appris que nier les choses les plus évidentes ne sert absolument à rien.via pramodavana 6 years ago, 2/1/2016. 604 notes.
Lesbases Entrée du centre Vipassana à Shelburne Alors que la méditation peut sembler réservée aux moines pacifiques qui ont abandonné toutes les. Aller au contenu ☎ Call Now 833-507-1104 Les destinations. République Dominicaine; Jamaïque; Riviera Maya
J'ai appris que l'amour peut arriver par appris qu'on pouvait mourir en une appris que de grands amis peuvent devenir de parfaits inconnus,Et qu'au contraire, un inconnu peut devenir un ami pour la que le "Jamais plus" n'arrive jamais et que "le pour toujours" à une appris que celui qui prend des risques perd jamais rien,Et que celui qui ne risque rien, ne gagne appris que si on veut voir quelqu'un, il faut aller le chercher,Car après c'est trop appris qu'avoir mal est inévitable, mais souffrir est en surtout j'ai appris que nier les choses les plus évidentes ne sert strictement à rien. . 363 6 126 30 494 378 234 239

j ai appris que l amour peut arriver par surprise