LesZappeurs mettent au point un virus, le L.I.V.3. Ce virus doit détruire tous les livres. Ce virus se propage dans les neurones du lecteur, il sollicite toutes les zones de sa mémoire et il crée un univers virtuel qui le plonge dans un état proche du sommeil. Au fur et à mesure que le lecteur lit le livre, les pages s’effacent instantanément.

Onglets livre Résumé En lien avec le thème Imaginer des mondes nouveaux » du nouveau programme de français en 5e, un roman de science-fiction porteur d’une réflexion sur les livres et les écrans. Avec de nombreux plus une interview de Christian Grenier, des pistes d’ateliers interdisciplinaires, une enquête sur l’histoire du livre. Le roman texte intégral 2095, à Paris les Lettrés sont au pouvoir et les Zappeurs adeptes des écrans, bannis de la société. Mais un virus, mis au point par les Zappeurs, efface les mots des livres. Allis, une jeune Lettrée sourde et muette, est chargée de trouver l'inventeur du virus, ainsi qu'un antidote. Le dossier pédagogique et l’enquête Le roman de Christian Grenier est associé à un dossier pédagogique et à une enquête • Le dossier pédagogique comprend – des propositions d’ateliers à faire en classe ; – un guide de lecture avec des repères et un parcours en 7 étapes ; – un groupement de textes et images sur le thème Un monde sans livres ». • L’enquête porte sur l’histoire du livre, de son apparition à aujourd’hui. Pour l’enseignant Sur , en accès gratuit réservé, un guide pédagogique, avec un descriptif complet de la séquence, et des fiches d’activités photocopiables. Détails Partager via Facebook Partager via Twitter Partager via Pinterest Partager par Mail Imprimer la page Avis des lecteurs
Evaluationde lecture "Virus LIV 3 ou la mort des livres" de C. Grenier. Bonjour à tous ! J'éspère (pour les profs de la zone B) que vous avez passé de bonnes vacances, et que vous n'avez pas eu trop de corrections. Pour ma part, je me suis laissé emporter par une avalanche de copies ! Je n'ai donc pas eu le temps de prendre un sujet

Onglets livre Résumé Le gouvernement des Lettrés a interdit les écrans et décrété la lecture obligatoire. Face à cette tyrannie, les Zappeurs se révoltent ces jeunes rebelles, adeptes de l'image, propagent un virus qui efface les mots des livres à mesure qu'ils sont lus. Seule Allis est capable d'identifier l'inventeur du virus et de trouver un antidote. Détails Partager via Facebook Partager via Twitter Partager via Pinterest Partager par Mail Imprimer la page A lire aussi Après le succès de la série Sex Education , les éditions Hachette Romans publient le roman officiel The Road Trip et Le guide ultime sans tabous sur... En juillet une nouvelle héroïne à grandes oreilles intègre la collection Mes Premières Histoires . Après un premier ouvrage Ceci est mon corps , les éditions Rageot et le magazine féministe Causette se réunissent de nouveau pour lever le voile... 1 Dès l'incipit que j'ai adoré on est renseigné sur le sujet du livre. On est entraîné dans un monde futur dans lequel la République des Lettrés a imposé des règles. Ce que j'ai aimé c'est que les ..... Allis est une fille sourde et muette qui passionnée par les livres. Chaque soir, elle se connecte sur le web pour parler avec son amis Monday dont on ignore son apparence physique. Ce dernier se fait ... Avis des lecteurs

Ceforum permet de créer des contacts professionnels et amicaux entre collègues, et d'échanger sur le monde de l'éducation et la pédagogie. [4e] quelle OI manque-t-il ? Neoprofs :: L'enseignement secondaire et ses disciplines :: Français/Lettres au collège. Page 1 sur 2 • 1, 2 . Tweet Partagez. Amaliah. Empereur. Re: [4e] quelle OI manque-t-il

Pierre BOTTERO, le Seigneur des ados ! Pierre Bottero était fier d’être un auteur jeunesse - une littérature qui n’a rien à envier en qualité à la littérature vieillesse. » S’il n’était pas qu’un auteur de fantasy, il faut bien reconnaître que c’est à cette littérature de l’Imaginaire qu’il dût son incroyable succès ! Dès l’enfance, il tombait dans la marmite de la fantasy. Il dévorait Tolkien Un choc ! S’en suivi, plus tard, l’idée que la fantasy ne pouvait s’écrire que sous la forme d’une trilogie, Zelasny, Farmer, Moorcock, Vinge, Howard… Les grands noms qui allaient lui permettre de devenir l’auteur que nous connaissons. Plus tard, il appréciera les auteurs jeunesse » tels que Erik L’homme, Hervé Jubert, Fabrice Colin ou Philip Pullman, Eoin Colfer pour ne citer qu’eux. Il n’y a pas de concurrence en littérature jeunesse, les auteurs s’apprécient, se côtoient, se téléphonent, se rencontrent, se parlent, rêvent ensemble d’histoires communes. Ainsi Erik L’Homme et Pierre imaginaient ensemble, A comme assassins »… De ses lectures, Pierre Bottero ne devait pas ressortir indemne. C’est par hasard qu’il se lançait dans l’écriture, pour aider sa fille qui séchait devant un concours d'écriture il rédigeait quelques pages sur son ordinateur, se piquait au jeu, poursuivait son épouse réclamait la suite, envoyait le texte à un éditeur qui le publiait... Il était dit qu’il n’arrêterait plu. Marqué à tout jamais par Tolkien, il était évident qu’un jour, il s’essaierait à la fantasy. C’est ainsi que naquirent La quête d’Ewilan », Les mondes d’Ewilan » et Le pacte des Machombres. » Pierre Bottero se fichait éperdument du cadre dans lequel on allait placer ses romans. Mais pour les techniciens, l’auteur lui-même évoquait la Low Fantasy. Il s’agit d’une low fantasy - inspirée par ses jeux d'enfant, ses rêves d'adulte, ses lectures et les émotions ressenties au quotidien - dans laquelle existe un équilibre entre le bien et le mal, le courage, la volonté et la détermination où domine le désir de tout ramener à des intérêts individuels égoïsme forcené, aveuglement quant à la mise en danger des équilibres…. Un parallèle pourrait d’ailleurs être établi entre le chaos décrit et notre monde réel. Mais attention. Les propos de Pierre ne demeurent pas sombres, ils restent optimistes. Pour avancer ! Avec pour personnages principaux des… femmes. Pierre était fondamentalement féministe. Il aimait à dire qu’il y avait moins de cons » chez elles que chez les hommes. Toutefois, Pierer Bottero n’a jamais cherché à donner des leçons, il se méfiait trop pour cela des transmetteurs » de valeurs et des donneurs de leçons. Le livre était pour lui un objet de partage. Ce partage, il l’avait avec sa famille qui appréciait ce qu’il écrivait et qui le rassurait Claudine, son épouse, ses deux filles lisaient ce qu’il écrivait avant publication. Lorsque Pierre Bottero était invité dans un salon du livre pour une dédicace, il faisait partie des auteurs les plus demandés il ne faisait pas bon signer à côté de lui ! les impressionnantes files d’attentes composées de lecteurs jeunes et moins… jeunes ! en témoignaient. C’est avec émotion qu’ils recevaient tous les messages de sympathie et… d’amour. Ses livres touchaient, ses histoires permettaient le partage et faisaient rêver, Pierre vivait alors une aventure … magique. Il avait beau affolé le compteur des ventes, ce qui avait un réel impact sur lui, c’était de percevoir la flamme dans les yeux de ses fans » euh ! il n’aimait pas le mot, de recevoir leurs avis, de parler avec eux. Tant d’amour le gonflait à bloc et lui transmettait une énergie positive. C’est pourquoi, ce succès qui lui permit d’abandonner son métier d’instituteur qu’il percevait intensément, à la fois avec bonheur évidemment ! et tranquillité, lui donnait également un sentiment de responsabilité. Ainsi, s’il savait se montrer reconnaissant envers ceux qui l’avaient aidé à améliorer son écriture Caroline Westberg, son éditrice chez Rageot, il avait également de la considération pour ce public à qui il devait tant. Quand vous rencontriez Pierre, assis derrière sa table de dédicace, vous aviez le sentiment qu’il n’attendait que vous ! Pierre veillait soigneusement à être proche de son public », un de ses… bonheurs. Il respectait humainement ses visiteurs et ses lecteurs en leur offrant des histoires dont il voulait qu’elles évitent facilité et démagogie. Il apportait ainsi beaucoup de soin et d’exigences aux corrections, un travail exigeant, vorace en temps et en énergie. L’écriture de Pierre Bottero avec Le pacte des marchombres » avait atteint une belle maturité. C’est ce que Pierre lui-même soulignait quand il affirmait que c’est en écrivant qu’on apprend à écrire. » En effet, cette dernière trilogie qui met en scène le personnage d’Ellana est moins légère, plus complexe, que celle de La quête d’Ewilan » l’auteur avait eu le sentiment d’avoir grandi, évolué et de s’être trouvé, un sentiment accompagné par le désir de partager encore davantage avec le lecteur. Pierre Bottero était un homme intègre, voilà pourquoi il continue d’être autant aimé. A la lecture de ses trilogies, cette sincérité transpire. Pierre prenait un immense plaisir à écrire, à rêver », à imaginer le monde issu d’un vieux rêve de liberté absolue d’Ewilan, d'Ellana. Il prenait un immense plaisir lorsque d’autres que lui se baladaient dans "ses" mondes. Pierre Bottero écrivait pour être lu mais aussi pour explorer des contrées inconnues se connaître lui-même ? et entraîner à sa suite tous ceux qui étaient tentés par l'aventure... Quand il mettait le point final, c’était à la fois une joie celle d’avoir terminée et d’être satisfait du résultat et une déchirure celle de quitter l’univers crée… Un sentiment d'être coupé d'une part de soi-même avec l’irrésistible envie de replonger très vite. Pierre le poète » accordait beaucoup d’importance au travail de réflexion qui précède l’écriture. Lorsqu’il attaquait le premier chapitre d’un roman, la trame générale était dans son esprit, il connaissait très bien ses personnages. Ensuite, plongé dans le cœur du roman, il écrivait sans arrêt, du matin au soir, parfois pendant la nuit. Puis, il pouvait ne plus écrire pendant des semaines Enfin, presque car il écrivait toujours… dans sa tête. Quand il n’écrivait pas, il écrivait sans écrire. Pierre était un homme normal qui aimait lire, courir, menuiser, bucheronner, voyager, rencontrer, parler, rêver… et sourire ! Ah, ce sourire !I L’écriture de Pierre était une écriture vraie », sans complaisance, une écriture qui venait des tripes, un cadeau offert au lecteur. Il n’était satisfait que si les mots qu’il employait correspondaient réellement à ce qu’il souhaitait écrire. Cette honnêteté, il la devait à ses lecteurs. Pierre était un travailleur qui reprenait, sans cesse, son récit, la cohérence, le fond, la forme… C’est pourquoi il prenait grand soin, malgré les pressions des lecteurs, de ne pas chercher à publier, à tout prix, trop rapidement. Il était persuadé qu’il valait mieux patienter et faire patienter plutôt que de se décevoir et décevoir. Il pendait qu’il fallait laisser le temps à l’histoire de pousser, à son rythme... - "Le Loup à la voix de miel" Marc SEASSAU Grasset jeunesse J’ai fait venir dans le collège où je travaillais alors, l’écrivain Marc Séassau. La journée fut belle et pleine d’émotion notamment lorsque Marc anima une rencontre à deux voix j’adore organiser ce genre de rencontres 2 auteurs face à une classe en même temps ! avec Jean-Côme NOGUES qu’il avait adoré lire lorsqu’il était ado. Marc Séassau a écrit ce roman Le loup à la voix de miel » parce qu’il a été marqué par sa convocation comme juré dans une affaire de viol. Dans son récit, il narre l’entrée en 6ème d’une petite fille qui, anonymement, dépose des extraits de Peau d’âne » dans les poches, de sa marraine », une élève de 3ème. L’appel au secours était évident ! Cette rencontre a déclenché un phénomène pour le moins inattendu dont j'ai été le témoin, involontaire il m'a fallu trois semaines pour comprendre ce qui m’arrivais ! Je trouvais régulièrement par terre, dans le CDI, toujours disposées par deux, des photos représentants des scènes classiques de la vie d'une famille avec une de nos élèves de 6ème anniversaires.... J'ai évidemment rendu ces photos à l'élève qui, agressive, semblait ne pas comprendre pourquoi je détenais son bien. C'est tout juste si elle acceptait de reconnaître qu'il s'agissait d'elle sur les clichés ! Ces scènes se sont régulièrement reproduites trois, quatre fois pendant trois semaines jusqu'au jour où j'ai eu un déclic une seule photo sur le sol évoquant la petite sur les genoux d'un homme. J'ai de suite compris Peau d’âne !, j'ai alerté l'infirmière, la Principale du collège... Cette élève avait eu l’idée de reproduire ce que l’héroïne du roman faisait. Voilà ce qu'uns simple rencontre d'écrivain peut entraîner en dehors du plaisir de lire. Le roman avait libéré la parole de l’élève ! Nous en avons évidemment parlé avec Marc Séassau qui était évidemment KO comment ne pas l'être ? Il avait écrit ce roman un peu dans un but pédagogique mais quand la réalité dépasse la fiction... Lesecret de la cathédrale. Auteur : Béatrice Nicodème Éditeur : Le livre de poche Jeunesse Résumé : Colin est un jeune garçon qui arrive à Amiens pour devenir un apprenti tailleur de pierre.Il a choisi ce chantier car avant de mourir dans un incendie de maison, son père, maître Aurèle, était le maître d'œuvre du chantier et son rêve est de Create successful ePaper yourself Turn your PDF publications into a flip-book with our unique Google optimized e-Paper software. More documents Similar magazines Info a s s - e d u c a t i o n . f r Virus 3 ou la mort des livres Virus 3 ou la mort des livres » Christian Grenier À la fin du XXIe siècle, Allis, une jeune fille sourde et muette, se livre à une expérience de lecture interactive virtuelle. J'observais la couverture. Un dessin naïf représentait une jeune femme en robe rose au bras d'un homme souriant. En arrière-plan se dressait, au milieu d'un parc, une grande bâtisse bourgeoise. Je ne prêtais même pas attention au nom de l'auteur ; je feuilletais l'ouvrage pour arriver très vite au chapitre 1 et me mis à lire. Lorsque Valérie Morris arriva au domaine du Bois- joli, elle fut aussitôt éblouie par les grands arbres centenaires de l'allée qui menait à la somptueuse demeure. Sur le seuil, une domestique l'attendait. En la voyant approcher, elle lui adressa un sourire radieux et s'inclina en murmurant Mademoiselle Harret ? Comme je suis fière d'être la première à accueillir la fiancée de Monsieur ! - Oh non, s'empressa de rectifier Valérie, je suis seulement l’infirmière qui a été engagée pour… » À cet instant de ma lecture, je sentis ma vue se brouiller ; tout ce qui m'entourait bascula dans un vide coloré. Il me fallut quelques secondes pour reprendre pied et pour comprendre… Comprendre que je ne me trouvais plus dans les sous-sols de la TGB Très Grande Bibliothèque mais sur le seuil d'une maison inconnue ! Face à moi, je reconnus le parc, les arbres… Et l'héroïne du roman que je venais de commencer. Oui je reconnus même la domestique qui pourtant ne figurait pas sur la couverture ! Mais elle était telle que je l'avais imaginée. Au fait, l'avais-je vraiment imaginée ? Non, pas exactement ; son visage et son expression étaient restés dans ce flou où sont noyés les personnages secondaires d'un texte. Et maintenant que je l'avais en face de moi, je savais que c'était elle. Cette réalité reconstituée était parfaite. Trop parfaite, même la maison paraissait tirée d'une image de magazine ; le paysage ressemblait à un tableau bon marché ; Valérie Morris, face à moi, avait des airs de poupée fragile, et sa robe semblait sortir de chez le teinturier. Je déplaçai mon regard. J’avançai. J'étais réellement ailleurs. A l’intérieur du texte en quelque sorte ! Mais pas dans la réalité car, miracle, j'entendais. Oui je percevais le frisson du vent dans les arbres et les cris des oiseaux ; je me tournai vers Valérie Morris qui insistait d'une petite voix acidulée je ne suis pas Mademoiselle Harret, je suis l'infirmière… - Ah ! Venez, je vais vous montrer votre chambre. » Le ton de la domestique était devenu froid, impersonnel. Elle pénétra dans le vestibule ; Valérie la suivit, en oubliant sa valise sur le seuil où je me trouvais. Mais qui étais-je dans cette histoire ? Un fantôme ? Non en avançant la main, je m'aperçus que j'existais bel et bien. Je m'emparai de la valise ; je pus estimer son poids à une dizaine de kilos et sentir sous mes doigts la dureté de sa poignée en plastique. Delete template? Are you sure you want to delete your template? Save as template? Ficheprof résumé du roman de christian grenier, virus liv3 ou la mort des livres. Chapitres 1 à 4 situation initiale et présentation du problème. 2021 virus liv3 ou la mort des livres est un roman dystopique jeunesse de christian grenier, publié en 1998 au livre de poche jeunesse, . 3 ou la mort des livres de christian grenier, classées par Vous serez automatiquement redirigé vers la page demandée après 3 pas fermer cette page. Patienter 3 secondes pour passer à la page. The page was generated at Tue, 30 Aug 2022 035258 Browser time . 466 59 65 412 328 373 361 403

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